Costea de la REGHIN
PEINTURE sur VERRE
Exposition du 3 au 14 février 2009
Vernissage mardi 3 février de 19h à 22h
JOUTE
peinture sur verre
60X40 cm 2008
PEINTURE sur VERRE
Exposition du 3 au 14 février 2009
Vernissage mardi 3 février de 19h à 22h
JOUTE
peinture sur verre
60X40 cm 2008
peinture sur verre
38x28cm 2008
38x28cm 2008
Elia KLEIBER
TOILES METISSES
Exposition du 3 au 14 février 2009
Vernissage mardi 3 février de 19h à 22h
ZEPYRE
impression numérique et acrylique s/toile
2007
TOILES METISSES
Exposition du 3 au 14 février 2009
Vernissage mardi 3 février de 19h à 22h
ZEPYRE
impression numérique et acrylique s/toile
2007
La toile métisse, bien connue des peintres, doit son nom à la double nature de son tissage : sa chaîne est en coton alors que sa trame est en lin.
Dans les toiles d’Elia Kleiber s’entrecroisent d’autres sortes de matériaux. Pâtes acryliques et encres numériques, pigments et pixels se fondent ou se superposent dans un va-et-vient entre les impulsions de la machine et les mouvements de la main.
Dans cette union contre nature, c’est la figure qui tient le centre. Seraient-ce des portraits ? Sans doute, mais le portrait ici ne saurait s’enfermer dans l’effigie. Ces figures de femmes captées par l’image numérique sont balayées au pinceau ou à l’essuie-glace dans les couleurs favorites des modèles, signalées comme telles. De leur identité on ne saura rien de plus.
Au sein de ce jeu de ressemblance / dissemblance, la photographie occupe le devant de la scène. Mais la peinture, cette terrienne, veut y faire valoir également ses droits. Du surréel au subréel, de la fidélité à la volupté. Et vice-versa
Dans les toiles d’Elia Kleiber s’entrecroisent d’autres sortes de matériaux. Pâtes acryliques et encres numériques, pigments et pixels se fondent ou se superposent dans un va-et-vient entre les impulsions de la machine et les mouvements de la main.
Dans cette union contre nature, c’est la figure qui tient le centre. Seraient-ce des portraits ? Sans doute, mais le portrait ici ne saurait s’enfermer dans l’effigie. Ces figures de femmes captées par l’image numérique sont balayées au pinceau ou à l’essuie-glace dans les couleurs favorites des modèles, signalées comme telles. De leur identité on ne saura rien de plus.
Au sein de ce jeu de ressemblance / dissemblance, la photographie occupe le devant de la scène. Mais la peinture, cette terrienne, veut y faire valoir également ses droits. Du surréel au subréel, de la fidélité à la volupté. Et vice-versa
ANGE et DAMNATION
impression numérique et acrylique s/ toile
82 x 120 cm 2008
impression numérique et acrylique s/ toile
82 x 120 cm 2008