18 décembre 2009
Finissage De Coloribus et Fete de fin d'annee 2009 !
Le finissage a Un jour avant le dernier jour de l'exposition ,
et
La fete de fin d'annee 2009 !
le finissage et le samdi à partir de 17h30- . et
la danse Butoh de Sachiko Ishikawa et Thierry Castel (chorégraphie par Thierry Castel ) et
le performance de Arnaud Prinstet à partir de 20h-
10 décembre 2009
1 décembre 2009
26 novembre 2009
Chemin de Reve - expo Gravure -
3 novembre 2009
Music Acousmatique Danse Butoh
21 novembre 2009-
Je dispose d'un système original de spots couleurs controlés par l'ordinateur, chaque spot éclaire "l'acteur" c'est à dire ici le haut parleur et il y a donc une sorte de scenario visuel qui accompagne le scenario sonore....
EASF : 01 42 01 27 74
http://espacedesartssansfrontieres.blogspot.com/
L'EASF se situe près des stations Jaurès / Stalingrad, lignes 2,5 et 7et des bus 26 et 48.
Code d'accès (si la porte est fermée): 20A76
Aventures Electro Acoustiques: 06 30 53 79 60
http://www.aventures-electro-acoustiques.fr/
Pourquoi associer ainsi la danse butoh et la musique acousmatique ?
16 octobre 2009
se nourrir dans l'art
GRAVEUR
COUTURIERE
PATISSIER
BOULANGER
PHOTOGRAPHE
L'exposition fantastique et appétissant !
Sentir , goûter , toucher , regarder , ecouter ....et encore
Le Vernissage , mardi 10novembre 2009 de19h à 22h
**buffet assure par boulanger pattiserie Desgranges
http://www.maison-desgranges.com/
http://www.boulangeriedesgrangesparis16.com/
se nourrir dans l’Art アートを召し上がれ
Peintre, graveur, couturière, pâtissier, boulanger, photographe... Un inventaire à la Prévert ? Un syndicat baroque à tendance cocasse ? Juste une association d’artistes qui oeuvrent, chacun à leur manière, pour la bonne bouche. La nourriture est-elle un art ? Et l’art se mange-t-il ? On frôle l’indigestion... de surprises colorées, délicieuses, ravissantes. Comme la plupart de ces artistes sont étrangers, c’est un regard neuf qui est porté sur notre relation à la grande bouffe. Naoko Tsurudome, Xiaobei Dong, Misato Fujisaki, Sachiko Nukui, Naoko Shirakawa, Minako Tsujino, Isabelle Smolinski et Patrick Loferon investissent donc l’Espace des arts sans frontières, histoire de mieux « se nourrir dans l’art »...
-TGV magasine novembre 2009-
1 septembre 2009
Exposition du 9 au 15 septembre 2009 - 15h a 19h
Invités : Sun-Young Cho (vidéo), Paul Guilbert - TRE (vidéo), Hong Sun Min (vidéo), Mateusz Sadowski (vidéo), Alex Savatovsky (son) Lukasz Sosinski (vidéo)
Le groupe Parad vous invite à expérimenter une “randonnée” solitaire, un parcours d’images cryptées. Cette montée mécanique est structurée en trois parties ; une ascension, un sommet et une descente. Une installation pensée à six têtes, construite à douze mains aboutissant à une pérégrination complexe. Multiple propositions dialoguent, se mélangent, se confrontent dans l’espoir d’un objet global. Parad tente de contrôler l’errance, d’imposer des images ouvertes.
ils ne se souviennent plus depuis combien de temps ils profitent de ce monde nouveau qui s'offre à eux.
L'écart avec le vieux monde varie comme un balancier. Ils doivent continuer à se hisser.
Ils n'ont pas sauvé la planète. Ils avaient plus intéressant à faire.
Explorer les ruines du monde présent. Se perdre.
Tenter de se glisser dans des interstices du paysage interdit.
On leur disait souvent que c'était mieux hier. Comment sera donc demain ?
Ils avaient senti l'urgence d'apprécier l'instant. Cesser de vivre dans la précaution.
Et tant pis s'ils allaient muter. Ils muteraient heureux.
De là-haut, ils tenteront d'oublier les dégâts, sans compter les morts.
Ils sont en train d'oublier l'histoire. Combien d'apocalypses a vécu l'humanité ?
La mémoire est redevenue vivante. L'écriture est morte. Seules quelques boucles subsistent.
Le reste semble crypté. Ils sont entourés d'une civilisation globale et perdue.
Tant pis. Tant pis pour la gloire et tant pis pour l'honneur.
D'ailleurs ils sont nés bien après la catastrophe. Elle n'est toujours pas achevée. Ils la vivent à doses variables.
Peut-être qu'ils la désirent encore. Ou qu'ils veulent la cerner de près. Avec ou sans écran.
De manière insidieuse comme on leur a inculqué, en multipliant les images."
15 août 2009
(Draw Plastic Interfaces)
Du 25 au 31 Août 2009
VERNISSAGE mardi 25 août de 19h à 22h
Installation en plein air
à L’imprimerie Feuille à Feuille - 40 Quai de la Loire Paris 75019
Sena Bae
2009
installation video projecteur, peinture (huile sur toile)
dimension variable
Moowang Moon
2008
acrylique sur Post-it, 400 x 400 cm
Si le rêve est un élément poétique, invisible, sous-jacent dans une œuvre d’art, la réalité est une matière première, brute, se disposant devant les yeux de l’artiste. Par une quelconque interprétation, l’artiste en crée des œuvres.
La réalité est trompeuse, dira-t-on. On est bien d’accord, elle est flottante. Chaque culture, chaque époque a sa manière de la voir et de la saisir.
Alors, où est le point de vue de notre époque?
Sachant que désormais notre vie tourne autour des médias audiovisuels, on peut dire qu’il est sans doute devant l’écran : la télévision ou toutes sortes d’écrans numériques.
Il est donc inéluctable que les artistes de jeune génération, nés dans l’air numérique, interprètent la réalité à travers l’écran de viseur. Chez eux, la vue est numérique et l’art représente le monde en forme de désagrégation.
Ainsi leur réflexion et leur production artistiques sont résolues en quelque chose d’étalable, à 2 dimensions. Réciproquement, quant à l’image, elle est douée virtuellement d’une extention en 3 dimensions.
Cette dialectique de la profondeur de la réalité immanente à la surface croise, en outre, les conditions physiques de la peinture : la planéité et le volume métaphysiques.
Le centre de l’exposition “DPI” est le morcelage de la vue et des objets, appelé ici “la résolution de la réalité”, au sens de la “résolution” de l’image numérisée. Il s’agit du processus de décomposition-recomposition des données engendrées par notre environnement.
Cette approche est doublement significative chez ces artistes venant de la Corée où la télévision, la technologie informatique prennent la plus grande place dans la société.
Dans les œuvres de Sena Bae et de Jinwon Seo, les fragments pixellistiques subdivisent l’imagerie populaire et urbaine. Young Choi, pour représenter la complexité de la réalité, enchaîne des fenêtres (il s’agit bien de “Windows” !) ou des écrans qui se confondent avec la pratique de la peinture.
Or, l’installation de Moowang Moon, est autant une décomposition du déchet-consommé, qu’une reconstruction en troisième dimension avec les constituants bidimensionnels : des points et des lignes,
Que la réalité est nébuleuse et la volonté technologique tente de la dévoiler jusqu’à la rendre moléculaire, mais à l’approche, ce que nous apercevons, c’est l’abîme entre ces molécules.
*Draw Plastic Interfaces
14 juillet 2009
Avec Ikjung Cho, Yeonyeon Jung, Misung Kwak, Jina Lee,
Christine Jihyun Park, Jisun Park, Sue Park
de 24 au 30 Juillet 2009
Vernissage Vendredi 24 Juillet de 19h à 22h
20h: Performances de Ikjung Cho et de Yeonyeon Jung
Leurs œuvres représentent la tendance actuelle de l’art contemporain Coréen reflet d'une société en mutation rapide et marquée par une culture « pop ». On y voit clairement l’influence de la consommation, du design et de la vie urbaine : Ikjung Cho interroge la place de l’intimité des jeunes dans un milieu urbain, Yeonyeon Jung traite délicatement de la féminité à travers le symbolisme et le stylisme, quant à Jihyun Park, elle tente de réinterpréter la fonction des objets.
L'exposition de ces artistes qui démarrent dans leur carrière manifeste aussi la singularité de ce moment de commencement rempli de questionnement et de recherches. L’hésitation et l’intimité de la quête de soi prennent le pas sur l'assurance ou la virtuosité : Des formes croissantes cellulaires végétales psychique de Jisun Park, Jina Lee, au recours de la philosophie et de la littérature, elle, cherche les retrouvailles de mémoires passées dans le présent. Et aussi, un dialogue onirique de Sue Park entre son enfance et la femme qu'elle est à présent.
Pour autant, ces réflexions introspectives ne manquent pas des atouts de la jeunesse: l’esprit ludique, la curiosité et la légèreté. Encouragés par cet air neuf et libre de Paris, ils expérimentent sans cesse. Les peintures de Misung Kwak ont trouvé une forme de renouveau pendant son séjour dans notre capitale.
Cette exposition de 7 jours sera courte mais l'occasion d'une expérience vivante et unique pour eux et le public Français.
16 juin 2009
Exposition de Peintures organisée par Isabelle Santos
du 20 Juin au 26 Juin 2009
Vernissage samedi 20 Juin de 18h à 21h
Dans sa démarche, Hynum s'interroge sur l’espace qu'occupe le corps humain; elle peint les morphologies comme formes pures en abordant la peinture figurative essentiellement par l’expression du corps. Pour la série de peinture « Breaths », elle met en avant pour ses figures qui s’extirpent de l’ombre, le mouvement et la couleur.
Elle souligne la douceur de la chair comme le ferait la main d’un amant à la recherche des courbes de l’autre, caressant la toile de son pinceau avec la délicatesse d’une goutte d’eau roulant sur le corps. La maîtrise des couleurs: un prisme de cristal.
Dans la subtilité des scènes dégagées dans ses peintures, Hynum nous évoquent « mille désirs rôdeurs », comme dirait Maupassant; des véritables nuits suaves qui évoquent un cocon délicieux. Les lignes de chair fuyantes que poursuit l’œil du spectateur continuent à perte de vue…
Beth Anna Hynum, née en 1983 en Papouasie Nouvelle Guinée, vit à Paris depuis 2005. Elle puise son inspiration du rapport naturel entre le corps et son environnement. La danse est une autre source d’inspiration ainsi que la photographie et les lumières du spectacle. Pour cette artiste, créer permet de se découvrir, se connaître pour ensuite dépasser ses limites.
Isabelle Santos, Médiatrice Culturelle
SOIREE AU SOUTIEN DES PROJET DE
L'ASSOCIATION I SAN INNOCENTI
L’association se propose de favoriser une cohabitation parmi les hommes basée sur la valeur de la personne humaine et sur son droit à la dignité et à la liberté.
L’Association est présente et travaille dans différents pays d’Europe, mais aussi au Mexique, en Amérique Latine, en Venezuela, au Japon, en Palestine, en Iraq et au Liban.
Dans tous ces pays, le premier but de notre travail est le soutien des réalités éducatives et sanitaires constituées par des citoyens locaux, qui soient un point de repère humain et une aide à l’action sur place.
Le projet concerne deux actions : La Guarderia et Le Dispensaire médical. Le pivot du projet est une équipe éducative choisie et formée par ISI. Des enseignants, des étudiants universitaires et des experts en pédagogie, travaillent depuis des années, au sein d’une réalité qui manque d’infrastructures, d’une urbanisation de base mais surtout d’une assistance sanitaire. L’équipe a dû faire face à des graves maladies causées notamment par le manque d’hygiène et par la malnutrition.
14 mai 2009
Corelia Roché
2-13 Juin 2009
Vernissage Mardi 2 Juin de 18h à 22h
Finissage samedi 13 juin de 18h à 22h
La cité vitrail 73x93 huile sur toile 2009
Je suis ravie d’avoir rencontré une femme passionnée, c’est rare de nos jours. Avec ce genre de personne, on oublie un moment la superficialité du monde actuel.
La passion, la vraie, n’est pas ostensible. C’est la passion interne qui perdure. Souvent cette passion se trouve chez les femmes, ou plus précisément chez une sensibilité dite féminine.
Pas de slogan passionnel ni apparent. Mais une passion qui l’est d’elle-même.
La peinture de corelia Roché est sa vie elle-même : l’artiste vit de sa peinture, la peinture vit de la vie de l’artiste. D’où une passion authentique.
Ses œuvres sont des histoires (narration) qu’elle raconte, cela sans cesse.
Elle est débordante. Souvent son format de tableau a l’air trop petit pour contenir tout ce qu’elle a à dire. Ça glisse, ça avance, ça déroule, il faut la suivre. Il y a un de ses tableaux intitulé « Suivez le guide ». Je ne sais pas qui suit et quel est le guide, mais je pense que ce titre représente assez bien le travail de Corelia.
Elle avance, elle ne s’arrête pas, peut-être qu’elle ne se retourne pas non plus. Elle peint, elle dessine dans une sorte de fluidité incroyable. Cette manière s’apparente à celle d’un écrivain. D’ailleurs, ses petits personnages sont les alphabets de l’artiste, avec eux, elle nous raconte mille choses de la vie.
Il y a une rencontre avec les couleurs, elles sont intenses, vives, vraies.
Comme des incidents de la vie, elles éclatent dans ses peintures. Signifie-t-il que la vie de l’artiste s’intensifie ? C’est fort possible, logique, même, car un artiste qui s’enfonce dans l’art s’engage dans la vie, très profondemment et sans hypocrisie.
Passé une certaine réserve sur les couleurs dans son travail précédent, cette trouvaille récente avec les couleurs fortes est une sorte de confirmation en tant que peintre et en tant que femme en désir de s’affirmer.
Elle se pose la question sur son être, sa place et son rôle. Cette question ne donne jamais une réponse définitive. La quête du soi n’a pas de fin. Le dialogue avec elle-même n’est pas narcissique, car son regard va vers les gens qui vivent.
Elle est aussi spectatrice des autres vies. Toutes les scènes dans ses tableaux sont sûrement puisées de sa mémoire. Sans ces « Autres », le soi n’existe pas. Ainsi corelia qui observe et absorbe éprouve un besoin de les communiquer en art (artiste). Cette communication artistique est, contrairement à ce qu’on imagine souvent, plus précise et efficace pour trouver où est la vraie place d’une chose.
L’art est par excellence un travail de contradiction dont les outils sont le doute et la conviction. La fragilité et la constance de la passion de cette artiste est une source inépuisable de son art. Avec le temps, la vivacité de ce peintre s’accentue et s’accélère, on dirait même qu’ elle est impatiente.
Noir, blanc, rouge, bleu, jaune,vert et après?
Luna Khan
Colors 80x40 technique mixte sur toile 2009
(proverbe chinois)
Cette exposition n’est pas un travail sur les couleurs. J’ai simplement voulu vivre la couleur de manière la plus spontanée possible. C’est grâce au Noir que les couleurs sont arrivées, toutes seules. Je ne me suis jamais dit « maintenant je vais mettre de la couleur ». Le Noir, c’est le refuge de la couleur. Elles sortent d’elles-mêmes, petit à petit, les unes après les autres. Elles sortent nettes, vives et fortes. Cependant, je sens que déjà, elles m’échappent, qu’elles se dérobent pour se mélanger férocement les unes aux autres. Mais ça c’est une autre histoire…
Corelia Roché
Née en 1964 à Gassin (Var).Vit et travaille en région Parisienne.
Autodidacte, son travail présente un caractère impulsif, spontané, inventif. Les sujets et les techniques ne font référence à aucune mode ni tendance actuelle. Ils procèdent du seul désir d’une expression propre, d’un cheminement personnel, de la nécessité de créer dont le sens premier est l’exploration et la révélation de son monde intérieur.
Il n’y a pas de but à atteindre, il s’agit pour elle de suivre son instinct et de voir.
« Papier, crayon, colle. J’attaque la feuille. Une émotion, un sentiment, un ressenti. Quelque chose au-delà du trait. Des petits personnages se dessinent, des positions s’imposent d’elles-mêmes. »
Sa démarche est marquée par le besoin de l’expérimentation qui passe par une grande variété de techniques. Son travail est aussi basé sur la récupération de vieux papiers trouvés dans les brocantes qu’elle fréquente inlassablement.
Mon travail c’est moi, c’est ma façon d’être présente dans le monde ».
Son atelier est à Pantin, au sein du Collectif « La Baleine ».
C’est sa dixième exposition personnelle à Paris. Elle a exposé également en province et à l’étranger , à New-York (Brooklyn/ Red Hook) et à Buenos Aires au Museo de Arte (Tigre).
20 avril 2009
Su-Koung Bang / Kwang-Hwa Chung / Yoo-Kyung Hong / Susie Kim / Jeong-Woo Lee
du 5 au 12 Mai 2009
Vernissage mardi 5 Mai de 19h à 22h
Je ne raconte pas mes histoires, j’installe des objets –voitures miniaturisées, cahiers, branches, pierres. Ce sont des moulages des plâtres ou des matières transparentes, translucides, qui induisent une distance par rapport à l’objet référent. Les objets basculent vers une conceptualisation.
Par cette pratique, je recherche à travers mes expériences de la mémoire ; mémoriser, se souvenir।
L’objet quotidien devient alors irréel. Il entre dans l’univers de la mémoire par la répétition, la transformation, le mélange, l’ébouriffé, la disparition...
Yoo-Kyung Hong
La circulation autour de cette oeuvre-ci , cette « sensation » sur le mur sert l’intention d'évacuer la sincérité véritable. L'objet à voir est une masse de sensations, non une perception qui s'offre, selon le concept de DELEUZE.
Susie Kim
Si on prend ce postulat de départ, alors nous pouvons dire que l’espace est ce dans quoi le monde est, ce dans quoi nous vivons, agissons et par conséquent nous pouvons dire que nous possédons tous l’espace ; c’est ce que nous avons en commun, ce que nous partageons le temps d’un instant.
Pourtant, sous les poils blancs et longs, la trace du duvet jaune résiste. Ainsi il est blanc juste après la période de mue, mais son poil jaunit à mesure que la nouvelles saison revient ».