29 novembre 2011
15 novembre 2011
En attendant - exposition photographique -
Réunissant une équipe d'étudiant venant de
l' École Nationale Supérieure d'Arts Paris - Cergy,
l' Ecole des Beaux - Arts de Bordeaux,
de l'Ecole des Beaux - Arts de Rennes et
de l' UFR d'Arts Plastiques et
sciences de l'art à l' Université Paris 1 Panthéon Sorbonne,
l'exposition En Attendant propose un ensemble de travaux photographiques. Les differents participants présentent chacun des images extraites d'une série en préparation, ou bien inscrite dans un processus quotidien de prise de vue, ses photographies sont préludes d'une suite à venir.
avec Maxime Bersweiler, Jean-Sebastien Bubka, Audiane Cojean, Najma Darouich, Diaty Dialo, Luc de Fouquet, Wilson Le Personnic, Camille Lobbe, Myrtille Pichon, Elliot Storey et Julie Vaillant
Vernissage le vendredi 18 novembre à partir de 18h00
avec Maxime Bersweiler, Jean-Sebastien Bubka, Audiane Cojean, Najma Darouich, Diaty Dialo, Luc de Fouquet, Wilson Le Personnic, Camille Lobbe, Myrtille Pichon, Elliot Storey et Julie Vaillant
Vernissage le vendredi 18 novembre à partir de 18h00
Finnissage le vendredi 25 novembre à partir de 18h00, concert acoustique à 19h
Un catalogue de l'exposition sera édité à 50 exemplaireset sera disponible pendant le vernissage et le finnissage.
Un catalogue de l'exposition sera édité à 50 exemplaireset sera disponible pendant le vernissage et le finnissage.
1 novembre 2011
Safety Glasses Required In This Area
SAFETY GLASSES REQUIREDIN YHIS AREA
EXPOSITIONCOLLECTIVE
Suxiang CHEN
Suxiang CHEN
Woojung HOH
Junyan HE
Isaac PELLOQUIN
Xiaokang SUN
Gihyuck YOON
vernissage vendredi 4 novembre 2011 de 18h à 22h,
finnisage jeudi 10 novembre 2011 de 18h - 21h
vernissage vendredi 4 novembre 2011 de 18h à 22h,
finnisage jeudi 10 novembre 2011 de 18h - 21h
exposition du 4 au 10 novembre
De quoi ont-ils peur, ces petits 6 hommes? Quelles sont leurs craintes avant de sortir de leurs cages? Quelle est le regard qu'ils portent sur le monde? Cette fois-ci, nous avons invité six étudiants de 4ème année de l'école des beaux-arts de Paris.
De quoi ont-ils peur, ces petits 6 hommes? Quelles sont leurs craintes avant de sortir de leurs cages? Quelle est le regard qu'ils portent sur le monde? Cette fois-ci, nous avons invité six étudiants de 4ème année de l'école des beaux-arts de Paris.
Ils racontent leurs douleurs, leurs futurs, et leurs histoires
Junyan HE
" object retrieval " 2011
huil sur toile 121x154cm
Woojung HOH
" safety glasses required in this area "2010
marbre sur panneau de bois 0 x 90cm
Gihyuck YOON
" Une fête " 2011
Xiaokang SUN
" N 1 " 2011
huile sur toile
130x162cm
" N 1 " 2011
huile sur toile
130x162cm
"performance " 09.2011
"machine a couper le saucisson 2011
bois,acier, corde, cuir
14 octobre 2011
AU PLUS PRES
exposition du 20 au 26 octobre 2011
---- ouverture mercredi 19octobre 2011 de 18h à 21h
Certaines choses appellent à la proximité, au fait de s’y attarder et d’observer avec minutie.
---- ouverture mercredi 19octobre 2011 de 18h à 21h
Certaines choses appellent à la proximité, au fait de s’y attarder et d’observer avec minutie.
Être au plus près, est un mouvement en avant qui oblige l’œilà s’accommoder.
C’est une mise au point, c’est à dire le réglage de la netteté de l’image que l’on veut obtenir, la mesure du réel et la tentative de définir ses contours.
Il s’agit, en quelque sorte, de pointer une réalité, d’en
révéler les dimensions et les mesures.
Nous pouvons imaginer le développement d’une forme dans l’espace,
comme le prolongement de l’œil qui s’accommode sur un point.
Une succession de strates, une agglomération, un forage dans
le sol, un tir dans l’espace, un rayon lumineux, une goutte d’eau qui tombe…
Être au plus près, est le mouvement de la mise au point, c’est
le temps d’adaptation et la distance nécessaire à l’imagination.
20 septembre 2011
Polychrome
Exposition Art Contemporain
du 24 au 30septembre 2011
vernissage le 24 septembre 18h à 21h
YunMi JEON
Polychrome
du 24 au 30septembre 2011
vernissage le 24 septembre 18h à 21h
YunMi JEON
Junya KOMAI
Kaoru ISHIKAWA
Polychrome
Les couleurs sont ici une métaphore
Ces couleurs comme des singularités
Chacune a sa propre existance, ses relations, sa manière d'être et
de disparaître...
Ce sont des intensités
Les singularités polychromes construisent
ces mondes possibles
ces mondes possibles
divergents
Ces artistes habiles touchent chacun leur point de création du monde
Mais, attention! Nous ne sommes pas dans le domaine des codes !
Ces oeuvres ne leurappartiennent pas, leurs mondes diffèrent du nôtre
Les couleurs, elles ne sont personne.
Toujours avec humour, libérons-nous des codes.
Les surfaces polychromes... elles charment notre peau.
Elles enveloppent, elles expriment, elles font résonner...
Il y a le devenir, le souvenir, l'effacement et
La solitude, la liberté aussi-- elles vivent ensemble
une vie polychrome...
Yum Mi JEON
Née en janvier 1988 à Daejeon en Corée du Sud, je dessinais mes mangas préférés quand j'étais enfant et j'aime les illusions qui semble impossibles dans la réalité actuelle.
Depuis que j'ai terminé ma formation universitaire au département du manga et du dessin animé à l'Université Mokwon, je travaille comme artiste à Séoul. Dans mon passé, mon monde intérieur a été rempli de blessures. Dans cette période, les relations avec les camarades sont si fragles et si délicates qu'elles se brisent facilement. La solitude se loge toujours dens la liberté.
Mon unique moyen de m'exprimer passe par les être qui me font senti vivante. Je vis et enregistre les moments de la contemporanéité. Rien d'autre que ces moments n'encourage et ne renforce autant ma conviction et ma volonté. L'artiste écoute, observe, et questionne tout ce qui l'interpelle dans le monde. En tant qu'artiste, je veux accueillir les chose telles qu'elles sont, nue et crues, et leur apporter une consolation douce. Je préfère sentir les impulsions à l'intérieur plutôt que regarder des carapaces vides.
Quand je fais ce que j'aime, je tombe toujours dans le bonheur et le spleen à la fois. Je souffre à la frontière de ces deux sentiments. Le bonheur se prolonge dans le processus de mon travail. Mais je ne suis pas libre de décider ce qui en résulte. Je voudrais precevoir encore plus fortement l'agitation du monde. Elle m'aide à me mettre en mouvement. Je suis enchantée dans cet ébranlement de mes efforts pour la vérité. Les ombres de ce monde sont pour moi la terre nutritive qui enrichit la jeunesse, rend la vie intérressante et provoque la transgression. Pour ceux qui sont touchés par mes histoires, mon travail artistique les accompagnera dans le processus clinique. C'est une preuve que nous ne restons pas des inconnus dans le bref temps de la rencontre et de la consolation.
Cahier de notes de l'artiste pour cette exposition
Une découverte inattendue de monde
Une continuelle coupure-connexion. L'inconscience peut-être, mais surtout de peetites douleurs. Le temps sort de ses gonds et l'amusement continue. Toutefois poussent et grandissent les douleurs qui n'ont pas le droit d'exister. Lorsque les blessures disparaissent lentement, mon âme alertée se referme petit à petit. Eux , ils ne savent pas pourquoi être là, devoir être là. Je veux être libre , non pas être ligotée. Je suis au bord, tombant peu à peu en miettes d'un cadre instable qui va s'effondrer bientôt malgré les connexions apparentes. Ne subsistent que les regards vers le monde. Les labyrinthes des relations dans la longue durée du temps impossible à attraper, même avec beaucoup de volonté. Un souvenir d'une toute petite chose qui continait de grandir... Tout est au sein de notre esprit, en ce moment même...
Junya Komai
Né en 1980, à Mie , au Japon, j'ai étudié la peinture à l'Université Zokei de Tokyo. J'ai été influencé par Bruce Nauman, Vito Acconti, Jackson Pollock, John Cage, Samuel Beckette. J'apprécie aussi certain mangas japonais.
Quand je peignais, ce qui m'intéressait, c'étaient les mouvementes de pinceau, la force musculaire de mes bras, les changements de lumière, bruit, etc.: tout ce qui entre dans le processus de l'action de peindre plutôt que le tableau lui-même. J'appelle tous ces processus "performances idéales"; ce terme m'est venue à l'esprit lorsque j'ai vu un jour ma soeur pianiste qui s'entraînait en tapant les doigts sur ses genoux et en lisant une partition sans piano. Je voulais montrer plus directement ce processus caché derrière la performance réelle. C'est pour quoi j'ai commencé à utiliser la vidéo.
Pour mon travail d'art vidéo, je trouve des idées dans les mouvementes de notre vie quotidienne: les relations entre l'intention et l'action, la frontière entre le succès et l'échec, la différence entre sentire et penser, le sentiment indéfinissable de la sympathie, la question de la tension, etc. Lors de ces performances idéales, je mélange la lumière, le bruit, la musique, les films de kung-fu, des films burlesques, le manga japonais, le non-sens, le malheur...
J'aime les films comiques avec les arts martiaux. Ce qui me touche dans les actions involontaires d'un grand Maître face à un ennemi, c'est qu'elles permettre au Maître de gagnier le combat sans vraiment entrer dans le combat. Par example, il évite une attaque de l'ennemi en se baissant pour ramasser une pièce de monnaie par terre. Mais son habilité n'est pas tombée du ciel. Comme la peinture et la musique, la création humaine n'existe pas sans ce processus des performances idéales.
Kaoru ISHIKAWA
Née en 1984, j'ai grandi à une époque paisible et dans une ville calme juste à côté de Tokyo. Quand j'étais enfant, mon plus grand intérêt se portait sur les dinosaures, le cosmos, tout ce qui transcende le temps et l'espace. J'aimais penser à quelque chose d'invisible mais qui existé. A Tama Université au Japon, ma specialité était le design. Ce qui me motivait et m'importait, c'était cette avanture de l'esprit qui consiste à trouver de nouvelles idées plutôt d'améliorer le design. J'en suis même venu à perdre mon obsession pour le design. Pourtant, même les chose les plus infimes ont leur propre forme; leur beauté inspire le design. Je crois toujours que les object fabriqués recèlent de la beauté. Pour l'exposition à la fin de mes études, je suis partie des chose insignifiantes que j'ai trovées par hasard dans mes poches. Les object ont ainsi acquis du potentiel. Le point de départ de mon travail artistique se situe dans ce genre de trouvailles. Je peux même affirmer que je ne peux pas travailler avec les objets qui ne me font pas sentir la réalité. Et vous? De quoi est faite votre réalité?Pour l'exposition
Je questionne ce qui nous fait sentir la réalité dans notre société médiatisée. Les informations données par les médias prétendent, elles la réalité en tant que telle. Mais en fixant la réalité en images et en les stabilisant, elles nous dissimulent par un mur invisible la vraie vie de la réalité. Cependant, je crois que les objets face à nous plus vivants et réels que les informations sur eux. Dans l'expérience de leur rencontre, nous nous sentons physiquement "dans la réalité ". C'est pourquoi je prends pour objet de mes oeuvres les choses non-animées mais vivantes, les fruits ou les légumes par example.La vie de ces objets réels a une durée comme la nôtre. Elle apparâit, mûrit, viellit et disparaît. Je ne veux pas la fixer dans mes oeuvres comme le font les médias. Mes objets occupent un bref moment et une petite place sur les plateaux e plâtre que je construis pour les accueillir. En disparaissant, ils leur trace...
28 août 2011
Soirée Exposition et Concert
Adieu à l'Eté 2011 !
et saluons la rentrée .
pour finir en beauté
Expo et Concert mardi le 30 août
concert avec:
Soprano Jae Yoon LEE
Baryton YoonSung CHOI
Pianiste François MARTIN
au programme _________________________________
-You raise me up______________R.Lovland arr(1955 -)
-Après un rêve ______________G.Fauré(1845 - 1924)
-chanson coréenne__________Yoon Yi Sang(1917 - 1995)
-I love Paris _______________Cole Porter (1891 - 1964)
-Il fervido desiderio_____________V.Bellini (1801 - 1835)
-Vaga luna che inargenti
-Ma rendi pur contento
-Nuit d'étoile__________________C.Debussy (1862-1918)
-Chi il bel sogno di doretta________G.Puccini (1858 - 1924)
-Pour faire un brave mousquetaire___L.Varney (1844-1908)
-chanson créenne_____________Byun Hoon (1926-2000)
-Je veux vivre_________________C.Gounod (1818-1893)
-La ci darem la mano___________W.A. Mozart (1756-1791)
____________________________________________
Nos six jeunes artistes de "Cheminements" repartent en Corée .
Venez leurs dire aurevoir .
Finissage à partir de 19h.
concert................... 20h.
entrée gratuite
et saluons la rentrée .
pour finir en beauté
Expo et Concert mardi le 30 août
concert avec:
Soprano Jae Yoon LEE
Baryton YoonSung CHOI
Pianiste François MARTIN
au programme _________________________________
-You raise me up______________R.Lovland arr(1955 -)
-Après un rêve ______________G.Fauré(1845 - 1924)
-chanson coréenne__________Yoon Yi Sang(1917 - 1995)
-I love Paris _______________Cole Porter (1891 - 1964)
-Il fervido desiderio_____________V.Bellini (1801 - 1835)
-Vaga luna che inargenti
-Ma rendi pur contento
-Nuit d'étoile__________________C.Debussy (1862-1918)
-Chi il bel sogno di doretta________G.Puccini (1858 - 1924)
-Pour faire un brave mousquetaire___L.Varney (1844-1908)
-chanson créenne_____________Byun Hoon (1926-2000)
-Je veux vivre_________________C.Gounod (1818-1893)
-La ci darem la mano___________W.A. Mozart (1756-1791)
____________________________________________
Nos six jeunes artistes de "Cheminements" repartent en Corée .
Venez leurs dire aurevoir .
Finissage à partir de 19h.
concert................... 20h.
entrée gratuite
17 août 2011
CHEMINEMENTS
EXPOSITION DE 25 AU 30 AOUT 2011
OUVERT TOUS LES JOURS DE 15H - 19H
VERNISSAGE le judi 25 août 2011 de 19h-
"Cheminements sans frontières"
En cet été d'incertitudes, six jeunes artistes, coréen et coréennes, font connaissance à Paris
à l'espace des Arts sans Frontières, pour y réaliser de concert une exposition collective.
Ils ont tous des démarches très variés; certains encore en plaine recharches,
de technique ou d'expression, et en tout cas d'eux-mêmes;
d'autres se sont déjà bien affirmées.
Yu Juhyun
Oh Serah
Min Shin
Lee JinYoung
Espérons que touts ces cheminements en voie de se dessiner se rencontreront parfois ici .
---- Guy Jacqmin
21 juillet 2011
SUR LE RING
Cinq artistes, dont trois coréens, venus de Séoul à l’occasion de cette exposition, ainsi qu’une
libanaise et une française, toutes deux rentrées récemment de résidences en Chine, se trouvent
réunis sur le plateau de l’Espace des Arts Sans Frontières.
Ces artistes ont tissé quelques affinités créatives, en ce bref espace de temps, et confrontent leurs
démarches singulières sur ce "ring" amical.
Jihyun Kim
Née en 1981 à Séoul, diplômée en Arts Plastiques et Esthétique de la Seoul National University, vit et travaille entre la Corée et les Etats Unis.
Jihyun Kim observe et redécouvre les changements subtils, et décrypte les histoires cachées de l’espace, des objets et de l’instant présent, qui peuvent être facilement ignorés. Lorsqu’on y prête attention, on y voit ressortir des réminiscences et leurs histoires se mêlent avec les nôtres, cependant que de nouvelles relations se créent, ainsi qu’un sens nouveau.
Byungchan Lee
Né en 1987 à Séoul, actuellement étudiant en sculpture à la Catholic University d’ Incheon en Corée.
Le peu de cherté et la légèreté sont des qualités intrinsèques au plastique. On se sépare facilement des objets faits de ce matériau, malgré la difficulté à s’en débarrasser. « Je m’en sers pour fabriquer des créatures éthérées, douées de mouvement, auxquelles, à l’aide d’un petit moteur à vent, je transmets les particularités du matériau. »
Stéphanie Saadé
Née en 1983 à Beyrouth, diplômée de l’Ecole Nationale Supérieure de l’Ecole des Beaux Arts de Paris, elle a été
l’étudiante de Christian Boltanski et de Jean‐Marc Bustamante. Elle poursuit actuellement ses recherches en Chine, à la China Academy of Art de Hangzhou. « Ces nouvelles pièces s'inscrivent dans la continuité de mes recherches sur les éléments du paysage et ceux dont se compose la nature. Elles sont des expérimentations formelles qui mettent en relation des éléments
fabriqués, comme le Rideau ou les l’Ecorce avec des photographies et des meubles a priori étrangers les uns aux autres. Chaque partie de l'installation oscille entre deux catégories, celles de la peinture et de l'objet tridimensionnel, du socle et du meuble, de la photographie et de l'image imprimée utilitaire, en vue de créer des associations poétiques libres, tant visuelles qu'au niveau du sens, nouvelles, et à la fois infiniment familières. »
Emilie Sévère
Née en 1986 à Morlaix, étudiante à l’Ecole Nationale Supérieure des Beaux‐Arts de Paris, dans l’atelier de Dominique Gauthier.
Le voile opère deux actions contraires sur l’objet avec lequel il interagit. Il le dissimule et le révèle dans le même temps. Ici, il est posé sur une surface plane, sur laquelle on admet qu’il y a quelque chose, si ce n’est qu’il cache ce qui, à l’inverse de la peur, n’a pas d’objet, l’angoisse, celle de l’artiste devant son oeuvre, ou le mystère, qu’il aimerait percer.
Sehwa Youn
Née en 1988 à Seattle, étudiante en sculpture à la Hongik University, vit et travaille à Seoul.
La pièce présentée a la forme d’une couverture‐habitation. Les sans‐abris n’ont pas où habiter, mais plus encore ils sont ceux qui n’ont pas de famille, celle‐ci étant la réelle demeure. Pour l’artiste, c’est de là que découle leur solitude. En plus de les utiliser pour se protéger du froid, ils se servent des cartons pour se dissimuler au regard des passants. Abandonnés dans la ville, ces cartons sont aujourd’hui un symbole des sansabris, qui eux sont abandonnés par la ville.
Née en 1988 à Seattle, étudiante en sculpture à la Hongik University, vit et travaille à Seoul.
La pièce présentée a la forme d’une couverture‐habitation. Les sans‐abris n’ont pas où habiter, mais plus encore ils sont ceux qui n’ont pas de famille, celle‐ci étant la réelle demeure. Pour l’artiste, c’est de là que découle leur solitude. En plus de les utiliser pour se protéger du froid, ils se servent des cartons pour se dissimuler au regard des passants. Abandonnés dans la ville, ces cartons sont aujourd’hui un symbole des sansabris, qui eux sont abandonnés par la ville.
6 juillet 2011
9 juin 2011
Statue sacrée et le monde du ZEN
EXPOSITION du 23 - 26 juin 2011
de 15h à 19h (sauf le 26 juin: 15h-18h)
Vernissage jeudi ,23 juin 2011 à partir de 18h
Exposition vente de statuettes bouddhistes, mark page kimono et porte-bonheur
Demonstration de sculpture sur bois de statuette JIZO, jeudi 23 juin 2011 à 18h
dimanche 26 juin 2011 à 15h
Cours de méditation par Mme Mizukami Kazuko
samedi 25 juin
*1ère séance à 14h
*2ème séance à 15h
Durée de chaque séance: 30-60min
5 euros/séance
イメージトレーニング(誘導瞑想と誘導催眠)のご案内
私達は、毎日自分に知らないうちに暗示を入れながら生活しています。Vernissage jeudi ,23 juin 2011 à partir de 18h
Exposition vente de statuettes bouddhistes, mark page kimono et porte-bonheur
Demonstration de sculpture sur bois de statuette JIZO, jeudi 23 juin 2011 à 18h
dimanche 26 juin 2011 à 15h
Cours de méditation par Mme Mizukami Kazuko
samedi 25 juin
*1ère séance à 14h
*2ème séance à 15h
Durée de chaque séance: 30-60min
5 euros/séance
イメージトレーニング(誘導瞑想と誘導催眠)のご案内
その暗示がポジティブでプラス思考なら問題はありません。しかし、人間は、案外過去の失敗や嫌なことや不幸なことなどのマイナスな出来事とらわれてしまっています。そしてそれが再度起こらないかと心配したり不安になります。その心配や不安は、未来の自分に起こるだろうとの暗示になってしまっています。つまり心配したり不安な気持ちを持つということは、自分自身にマイナス暗示を毎日入れ続けていることになります。暗示は、感情が伴うと大変入りやすくなります。ですからそのようなマイナス暗示は効果的に入ってしまいます。それではいつまで経っても願っている夢や希望は実現しません。 今回は、自分にとって必要なプラス暗示入れることを目的に誘導瞑想と催眠のやりかたをご紹介します。それを憶えることによって自分が願っている未来を創ってください。
暗示は トランス状態(意識が遠のきぼんやりとした状態)のときに入りやすくなります。瞑想はその状態を作ってくれますが、その瞑想状態になるには訓練が必要です。瞑想は自分でトランス状態に入ることであり、催眠は誘導されてトランス状態に入ります。誘導されたほうが一般的に深い部分まで入れます。日ごろ自分で瞑想されている人はさらにトランス状態が深まるでしょう。せっかくのトランス状態ですから自分の内面(無意識)を見てみる作業もおこないます。
主催者 水上和子のプロフィール
若い頃より瞑想や精神世界に興味をもち、30代より瞑想に励みセミナーにも参加し研鑽を積む。42歳からレイキヒーラーとして治療を開始。その後心理療法や催眠療法を学び心理カウンセラー・催眠療法士としても治療を始める。レイキヒーラーとして20年、催眠療法士として12年経過し現在に至る。現在は、東京池袋YM心理センターに勤務しながら東京阿佐ヶ谷ヒーリングルーム・サンガを開設。2005年ニュージーランド クライシスチャーチにおいてイメージトレーニングをおこない好評。著者「スピリチュアル・ジャーニー」2009年発行「聖なるものとは・・・自然からのメッセージ」2011年秋発行予定ホームページ http://www.sanga-kazu.com/
19 mai 2011
Une certaine atmosphère de complicité
Exposition du 27 mai au 31 mai 2011
Vernissage le jeudi 26 mai de 18h à 21h
De plus en plus, la vie moderne nous entraîne, bien souvent malgré nous.
vers plus d'individualisme.
A l'Espace des Arts Sans Frontières, cinq jeunes artistes japonais,
venantd'horizons très différents, se réunissent,
le temps d'un stage, pour réaliser une exposition commune,
toute en découvrant Paris.
La plupart ont une démarche plutôt intimiste; en outre, certaines d'entre elles ont
déjà une pratique affirmée , de la laque, du kakémono, du kimono, ou du haiku,...
Ils ont ici l'occasion d'avoir des échanges sur leurs diverses formations et savoirs.
L'exposition qu'ils vont finalement réaliser ensemble devrait être nourrie
de toutes les connaissances, humaines, artistiques, et pratiques,
qu'ils auront pu acquérir lors de ce court séjour .
G.Jacqmin
1. Tenshi Fujiwara fujiwara.shi12@gmail.com
De nos jours , nous portons tout des vêtements;
mais si les gens n'en portaient pas , qu'arriverait-il?
J'ai imaginé cette situation, et je l'ai peinte .
(moi-même j'ai toujours beaucoup aimé les kimonos)
2. Hanna ha.nnn@mac.com
http://web.mac.com/ha.nnn
'Peut-on élargir notre conscience?
Je tente de reconstruire la réalité après l'avoir décomposée . '
3.Miki Hatakeyama mmm.hata@gmail.com
http://mii9mainichi.chottu.net/
On peut éprouver partout de petits plaisirs, avec le travail de l'huile sur toile.
J'aime évoquer de petits instants de bonheur , comme autant de pauses
dans notre vie quotidienne.
4.Katsumi Kurosaki kurosaki.katsumi@nifty.com http://katsumi.o.oo7.jp/
Les plants en France paraissent plus épanouies que celles que l'on trouve au Japon.
J'élabore mon sujetd'après le paysage français,
qui dégage pour moi une certaine harmonie.
5.Ryo Taniguchi ryo_asse@yahoo.co.jp
Le thème premier de mon travail, c'est la lumière et l'ombre.
Je présente ici la face cachée du plan de l'oeuvre en la sublimant.
Je souhaite découvrir de nouvelles lumières pour de nouvelles oeuvres.
Vernissage le jeudi 26 mai de 18h à 21h
De plus en plus, la vie moderne nous entraîne, bien souvent malgré nous.
vers plus d'individualisme.
A l'Espace des Arts Sans Frontières, cinq jeunes artistes japonais,
venantd'horizons très différents, se réunissent,
le temps d'un stage, pour réaliser une exposition commune,
toute en découvrant Paris.
La plupart ont une démarche plutôt intimiste; en outre, certaines d'entre elles ont
déjà une pratique affirmée , de la laque, du kakémono, du kimono, ou du haiku,...
Ils ont ici l'occasion d'avoir des échanges sur leurs diverses formations et savoirs.
L'exposition qu'ils vont finalement réaliser ensemble devrait être nourrie
de toutes les connaissances, humaines, artistiques, et pratiques,
qu'ils auront pu acquérir lors de ce court séjour .
G.Jacqmin
1. Tenshi Fujiwara fujiwara.shi12@gmail.com
De nos jours , nous portons tout des vêtements;
mais si les gens n'en portaient pas , qu'arriverait-il?
J'ai imaginé cette situation, et je l'ai peinte .
(moi-même j'ai toujours beaucoup aimé les kimonos)
2. Hanna ha.nnn@mac.com
http://web.mac.com/ha.nnn
'Peut-on élargir notre conscience?
Je tente de reconstruire la réalité après l'avoir décomposée . '
3.Miki Hatakeyama mmm.hata@gmail.com
http://mii9mainichi.chottu.net/
On peut éprouver partout de petits plaisirs, avec le travail de l'huile sur toile.
J'aime évoquer de petits instants de bonheur , comme autant de pauses
dans notre vie quotidienne.
4.Katsumi Kurosaki kurosaki.katsumi@nifty.com http://katsumi.o.oo7.jp/
Les plants en France paraissent plus épanouies que celles que l'on trouve au Japon.
J'élabore mon sujetd'après le paysage français,
qui dégage pour moi une certaine harmonie.
5.Ryo Taniguchi ryo_asse@yahoo.co.jp
Le thème premier de mon travail, c'est la lumière et l'ombre.
Je présente ici la face cachée du plan de l'oeuvre en la sublimant.
Je souhaite découvrir de nouvelles lumières pour de nouvelles oeuvres.
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